Au 18e siècle déjà, les voyageurs s’arrêtaient à la Barrière de Saint-Gilles. L’endroit était stratégique. Les autorités communales ne se priveront pas de l’exploiter : un droit de passage est rapidement instauré. D’où le nom actuel. Le fritkot de la Barrière de Saint-Gilles perpétue la tradition. Touristes, riverains, passants, pélerins, tous s’arrêtent pour payer la dîme en échange d’un précieux cornet.